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Admin Admin
Nombre de messages : 58 Date d'inscription : 19/07/2006
| Sujet: job, pro, entretiens etc... Jeu 8 Nov - 6:25 | |
| Les 20 questions les plus courantes pour préparer son entretien d'embauche
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-candidature/entretien-embauche/detail/article/les-20-questions-les-plus-courantes-en-entretien-dembauche.html?utm_source=cadremploi&utm_medium=email&utm_campaign=push_edito_v1&een=6521d925a6321f55cbead44654b0882f&seen=6
1. Pouvez-vous vous présenter ?
« Avec cette question, il s’agit d’évaluer comment la personne structure son parcours, explique Oualid Hathroubi, directeur adjoint chez Hays. C’est un préambule qui permet aussi d’en savoir déjà plus sur la personnalité du candidat (bavard, réservé…) et son état du moment. Une entame brouillonne peut signifier un fort état de stress. »
2. Que savez-vous de nous ?
« Il faut que le candidat se soit renseigné en amont via Internet et les réseaux sociaux, poursuit Oualid Hathroubi. On doit ressentir qu’il a travaillé son entretien d’embauche et qu’il cherche à nouer une relation de confiance. Exemple : "tout comme vous j’ai mené des études en finance…" ». La recherche doit donc se faire sur l’entreprise, mais aussi, si possible, sur la personne qui vous reçoit.
Lire aussi : Les 10 infos à connaître sur l'entreprise
3. Pourquoi souhaitez-vous quitter votre poste actuel ?
« On teste la fiabilité du candidat avec cette interrogation, annonce Florence Paquiry, chargée de recrutement chez SGS. Si par exemple il se met à dénigrer son employeur actuel ou passé, l’entretien est déjà mal embarqué… Il faut toujours savoir rester positif, ce n’est pas parce qu’on cherche à donner un nouvel élan à sa carrière qu’il faut parler négativement du passé. »
4. Qu’est-ce qui a suscité votre intérêt dans cette offre d’emploi
« On n’exige pas des candidats qu’ils connaissent tout de l’entreprise, rassure Eléonore De Lagarde, responsable sourcing et marque employeur chez Danone France. Mais on cherche qu’il y ait au moins une adéquation entre l’offre de mission et les leviers de motivation de la personne. Il faut que la candidature soit cohérente. »
5. Parlez-moi d’une situation où…
… où vous avez réussi à dénouer un problème complexe, où vous êtes parvenu à mener un projet jusqu’au bout... Pour Eléonore De Lagarde le but de ces questionnements est de centrer l’entretien sur le vécu de la personne, sur le "je". « Un recruteur a besoin d’imaginer le candidat dans des contextes donnés, de connaître ses résultats obtenus mais aussi les leçons qu’il a pu tirer d’expériences positives ou négatives. Il peut s’agir de retours vécus dans un contexte professionnel mais aussi personnel. »
6. Quels résultats avez-vous obtenus dans vos précédentes expériences ?
« On cherche le vécu du candidat en s’appuyant sur des éléments concrets, chiffrés et quantifiables, détaille Camille Doat, responsable du recrutement et de la mobilité chez BNP Paribas Real Estate. Ces résultats sont-ils en adéquation avec les objectifs demandés ? Comment s’y est-il pris pour les obtenir ? On peut ainsi mesurer ses leviers de négociation. »
7. Comment organisez-vous votre prospection commerciale ?
« On adapte évidemment les questions aux profils recherchés, indique Camille Doat. Pour des postes de consultant par exemple, nous sommes en recherche de candidats ayant le sens commercial. Cette question permet de mieux imaginer le candidat dans son quotidien professionnel, en espérant qu’il en profite pour nous donner du factuel. »
8. De quelle négociation êtes-vous le plus fier ?
Camille Doat cherche généralement à contrebalancer les questions sur des situations difficiles ou d’échec par des questions plus positives, pour que le candidat puisse garder confiance et rester positif lors de l’entretien. C’est une question d’équilibre. »
9. Quelle est la critique la plus constructive qu’on a été amené à vous faire ?
« C’est une question permettant de mesurer la prise de recul du candidat, reconnaît Florence Paquiry. On peut ainsi voir sa capacité à s’autoévaluer, sa maturité. »
10. Si vous pouviez revenir dans le passé, feriez-vous différemment certaines choses ?
« C’est une réplique plutôt difficile, admet Florence Paquiry. Mais elle permet de briser certaines carapaces. Comme souvent, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, on cherche seulement à voir si la personne sait tirer des leçons. »
11. Qu’aimeriez-vous faire une fois en poste ?
Dans cette situation, Eléonore De Lagarde mesure la capacité du candidat à avoir réfléchi à son projet et à sa candidature. « C’est une question qui permet aux recruteurs d’évaluer la capacité de projection des postulants. »
12. Comment comptez-vous entrer en interaction avec votre nouvel environnement de travail ?
Vous ne vous y attendez peut-être pas mais il faut se préparer à répondre à cette question très concrète, et particulièrement quand on est manager. « On teste l’esprit collaboratif du candidat, explique Camille Doat. Sa capacité à s’adapter à un nouvel environnement, avec de nouveaux collègues. ».
13. Qu’attendez-vous de votre manager ?
Encore une question qui paraît simple mais qui ne l’est pas. « Ici, on évalue la compatibilité du candidat avec un écosystème qu’il est susceptible d’intégrer, décrypte Camille Doat. Si le recruteur sait à l’avance que le futur manager du candidat est quelqu’un qui aime déléguer par exemple, on va plutôt avoir tendance à chercher des candidats qui semblent apprécier de pouvoir travailler en autonomie. ».
14. Quels sont vos axes d’amélioration ?
Il s’agit là d’une déclinaison de la question sur les qualités et défauts du candidat. « On évalue l'aptitude du candidat à prendre du recul sur lui-même, sa lucidité, en essayant de détecter des états d’esprit constructifs, de l’honnêteté et de la transparence », explique Camille Doat.
15. Quels sont vos moteurs professionnels ?
« C’est une question similaire à "qu’est-ce qui vous fait vous lever le matin ?", affirme la responsable du recrutement et de la mobilité chez BNP Paribas Real Estate. Toutes les réponses sont recevables si elles sont construites. Ce peut être la rémunération, des objectifs précis à atteindre, le goût du challenge, un environnement de travail épanouissant… La réponse nous permettra aussi de donner des informations précieuses au manager de la personne recrutée, pour qu’il puisse mieux cerner sa personnalité. »
16. Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
Un classique chez les classiques. Avec cette interrogation Camille Doat évalue la capacité d’analyse et de réflexion du candidat, en espérant qu’il soit à la fois réfléchi et ambitieux.
17. Quelles sont vos prétentions salariales ?
« Les questions sur la rémunération permettent, là aussi, de tester le niveau de préparation et de réflexion du candidat, reconnaît. Il doit être en mesure de bien évaluer ce qu’il vaut. »
18. Quelle est votre disponibilité ?
Pour Florence Paquiry cette question n’est pas à négliger. « Elle renseigne le recruteur d’un point de vue très pratique et peut aussi permettre de juger de la motivation du candidat. S’il se met spontanément à disposition pour une nouvelle entrevue ou une entrée en poste rapide, c’est bon signe. »
19. Quels sont vos hobbies ?
« J’utilise cette question subsidiaire quand je sens que la personne est particulièrement stressée par l’exercice de l’entretien, témoigne Oualid Athroubi. Parler de ce qu’on aime peut permettre au candidat de se détendre. »
20. Avez-vous des questions ?
Souvent la dernière question, mais pas la moins importante. « Le candidat doit avoir en retour des questions à poser au recruteur, assure le dirigeant de chez Hays. Attention aux questions bateau : demander par exemple le chiffre d’affaires de l’entreprise alors qu’on a accès à cette information sur Internet. J’apprécie plus les questions de projection sur son environnement de travail, la taille de l’équipe, son ancienneté, etc. » | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 58 Date d'inscription : 19/07/2006
| Sujet: Re: job, pro, entretiens etc... Jeu 8 Nov - 6:26 | |
| Les questions choc à poser en entretien d'embauche
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-candidature/entretien-embauche/detail/article/les-questions-choc-a-poser-en-entretien.html
1. « Quels sont les chantiers prioritaires de l’entreprise cette année ? »
Touché. Premier commandement livré par Hervé Bommelaer pour marquer des points auprès d’un recruteur : poser des questions sur l’activité de l’entreprise. « Pour vous démarquer, avant l’entretien, vous devez réviser et connaître l’actualité, la culture et l’ADN de la société », insiste ce consultant en outplacement auteur du guide Décrocher un nouveau poste.
2. « Ce qui se dit au sujet de votre engagement en faveur de la diversité est-il exact ? »
S’intéresser aux valeurs de l’entreprise est toujours payant. Variante : « Vos actions en faveur de l’égalité hommes-femmes sont-elles toujours d’actualité ? » Nul ne doute, avec de telles questions, que vous n’avez pas envoyé votre candidature par hasard. Non seulement vous maîtrisez l’actualité de l’entreprise, mais vous reflétez aussi ses valeurs. « Cela montre que l’entreprise est bien perçue par le candidat, confirme Karine Doukhan, directrice associée de Robert Half Management Resources. Et, ne l’oublions pas, les DRH recherchent aussi des gens capables de véhiculer la culture de l’entreprise.
À noter : si possible, « vous devez maîtriser parfaitement l’actu chaude et officielle de l’entreprise visée afin de pouvoir poser des questions du genre : « l’entreprise a de plus en plus de clients particuliers, quels sont les impacts sur mon futur travail de commercial ? », confirme Mustafa Benkalfate, dirigeant du site de coaching Jobtimise.
Poser des questions sur les contours du poste
3. « Pourquoi avez-vous retenu mon CV ? »
L’idée de déplacer le curseur de l’entretien est suggérée par Daniel Porot, consultant et auteur du livre 101 questions pièges de l’entretien d’embauche. « Plutôt que de dérouler son parcours, le bon candidat est celui qui va faire parler le recruteur. Il est intéressé par votre CV puisque vous êtes là. Alors demandez-lui par exemple quel aspect de votre profil l’intéresse le plus et développez ainsi les points les plus pertinents pour vous démarquer des autres. »
4. « Que devrai-je faire pour que vous me disiez dans 6 mois que j’ai réussi ? »
On doit cette question à Yves Maire du Poset. Auteur du livre Réussir votre entretien de recrutement, le Président du cabinet Piloter ma carrière invite ses clients à poser des questions techniques et opérationnelles pour mieux se projeter dans le poste. « Le but du recrutement est de dépanner votre interlocuteur ici et maintenant. En le sondant sur ses attentes précises et sur les contours du poste, vous démontrez déjà votre implication. » Variantes proposées : « À quoi jugerez-vous que le poste a été bien pris en main ? » ou « Quel sera le rythme de mes rencontres avec mon N+1 ? » Se positionner sur le long terme
5. « Comment a évolué la personne qui occupait ce poste avant ? »
Pour Hervé Bommelaer, demander des nouvelles de son prédécesseur quand on convoite un poste est toujours pertinent… à condition de s’assurer qu’elles sont bonnes. « Une rapide pré-enquête s’impose. S’il est parti en mauvais termes, oubliez. Mais s’il a été promu, vous pouvez aussi poser une question du genre : « Comment X se plaît-il à son nouveau poste de, etc. » C’est encore une façon flatteuse de montrer son intérêt pour le job. »
6. « Y a-t-il un programme d’évolution interne au sein de l’entreprise ? »
Et parce qu’un recrutement est un pari parfois long et couteux pour le DRH, Mustafa Benkalfate invite les candidats à se positionner d’emblée sur du long terme. « Les questions liées à l’évolution de carrière comme « Dois-je me former à de nouvelles techniques au fur et à mesure? » permettent au recruteur d’apprécier l’implication du candidat », observe le coach.
Anticiper la suite du process de recrutement
7. « Aimeriez-vous discuter avec mon ancien directeur ? »
Ou, plus simplement, de façon proactive, demandez : « Voulez-vous des références ? » Pourquoi ne pas devancer une éventuelle demande du recruteur, donner une image positive de votre parcours et prendre la main sur l’entretien ? « Soyez sans inquiétude et préparez une petite liste que vous pourrez communiquer à la demande », recommande Jean-Yves Arrivé, responsable de l’activité coaching chez Co’acting et auteur du guide Les 50 règles d’or de l’entretien d’embauche.
8. « Quand nous reverrons-nous ? »
Reste enfin à garder la main sur le processus de recrutement. « Vous ne voulez pas quitter votre interlocuteur sans une échéance, conclut Yves Maire du Poset. Il vous faut garder le contrôle de l’entretien jusqu’à la fin. » Projetez-vous dans l’étape suivante avec une ultime question du genre : « Quelle est la suite du processus de recrutement ? » Ou mieux : « M’autorisez-vous à vous rappeler en début de semaine prochaine ? » | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 58 Date d'inscription : 19/07/2006
| Sujet: Re: job, pro, entretiens etc... Jeu 8 Nov - 6:26 | |
| Entretien de recrutement : les 10 infos à connaître sur l’entreprise
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-candidature/entretien-embauche/detail/article/entretien-de-recrutement-les-10-infos-a-connaitre-sur-lentreprise.html
1 - L’activité de l’entreprise
Pour cela, rendez-vous sur le site corporate et épluchez les pages décrivant l’organisation et les activités des différentes business unit. Imprégnez-vous du nom des produits ou des services vendus. « Le candidat doit comprendre ce que l’on y fait : ce qui est vendu, à qui et via quel canal de distribution », insiste Emmanuel Stanislas, dirigeant du cabinet de recrutement Clémentine. 2 – L’organigramme
Assimilez le nom des membres du board. Combien de femmes ? Depuis combien de temps sont-ils en place ? Existe-t-il des actionnaires de référence incontournables ? « Le candidat doit également chercher le nom du patron de la division visée. Son parcours et son profil peuvent aider le candidat à cerner les attentes, ou en tout cas les habitudes de l’entreprise », ajoute le dirigeant de Clémentine. 3 - Les principaux concurrents
Un bon moyen de se faire une idée rapide de la composition du secteur. Connaître ces noms permet d’éviter l’effet de surprise si le recruteur vient à en parler ou s’il vous interroge sur le sujet. 4 - Les chiffres clés
Bien sûr, vous devez connaître le CA, le résultat, l’effectif, l’éventuel cours de bourse et les principaux ratios relatifs au job visé. « Ces données permettent au candidat d’apprécier la santé financière de l’entreprise : est-elle en croissance ? En décroissance ? A-t-elle souffert durant la crise ? Comment réagit-elle ? », explique notre expert en recrutement. 5 - L’actu de la boîte
La signature d’un contrat important, le dépôt d’un brevet, l’ouverture d’une filiale, le lancement d’une gamme de produits, la publication des résultats trimestriels… connectez-vous à la rubrique « Actualités » (ou presse) du site internet pour récolter ces infos. Ou passez par Google Actu.
Pour aller plus loin : « Comment répondre aux questions d’actualité en entretien d’embauche ? » 6 - Les dernières nominations
Les changements aux postes clés donnent des indications sur les profils sélectionnés par l’entreprise. S’agit-il plutôt de promotions internes ou de recrutements externes ? Des hommes de terrain ou des hommes de l’ombre ? 7 - Les distinctions récentes
Savoir si le recruteur vient d’être élu DRH de l’année ou distingué pour des actions en faveur de la diversité (ou autre) est un bon point. Idem pour le DAF, le directeur marketing… Cela en dit long sur le dynamisme de la société et peut servir à relancer le dialogue lors de l’entretien. 8 - Le parcours du recruteur qui vous reçoit
« En se connectant sur les réseaux sociaux professionnels, le candidat doit chercher à savoir s’il s’agit plutôt d’un opérationnel ou d’un RH pur, s’ils ont fréquenté des entreprises en commun… », conseille Emmanuel Stanislas. L’objectif étant de comprendre à travers quel prisme vous serez évalué. 9 - Le dress code
Connaître les us et coutumes vestimentaires en vigueur permet d’éviter la faute de goût vestimentaire le jour de l’entretien. Pour le savoir, vous pouvez visionner les vidéos en ligne sur le site de l’entreprise, consultez les pages Facebook et autres (Pinterest, Youtube,…) avec l’objectif de trouver des photos ou des vidéos de collaborateurs en poste. Plus simplement, interrogez vos connaissances en interne sur le fameux dress code. 10 - La stratégie digitale de l’entreprise
Vérifiez sur quel réseau social l’entreprise anime des pages. A-t-elle ouvert un tumblr ? Posté des photos sur Pinterest ? Un compte Twitter ? Autant d’opportunités pour glaner des infos sur l’humeur de l’entreprise. Mais aussi l’occasion rêvée de « liker » les initiatives de la boite et d’en devenir fan. Enfin, sans en faire trop quand même. En tout cas, durant l’entretien vous pourrez glisser que vous avez vu que sur la page FB de l’entreprise il était question de politique dédiée à la génération, X, Y ou Z. | |
| | | Admin Admin
Nombre de messages : 58 Date d'inscription : 19/07/2006
| Sujet: Re: job, pro, entretiens etc... Jeu 8 Nov - 6:27 | |
| Défauts en entretien d'embauche : lesquels peut-on avouer ?
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-carriere/detail/article/episode-36-les-bons-defauts-en-entretien-dembauche.html
Vous êtes certainement déjà au courant, mais le sujet des qualités et des défauts est un classique des questions en entretien d'embauche.Le problème, c'est qu'on le sait mais on ne le prépare pas, en tout cas, pas assez.. Défaut n°1 : Je suis ambitieux
Voilà sans doute un défaut que vous aviez prévu de taire à tout prix, tant l’ambition en France est souvent mal perçue. Erreur, pour un recruteur, avoir de l’ambition est au final plutôt positif. « Ce défaut est audible car, il démontre d’une part la capacité du candidat à avoir confiance en soi. Et cela sous-entend qu’il ne se contentera pas d’être moyen mais sera capable de performer sur le long terme », remarque Olivier Croce, dirigeant de l’application pour apprendre l’anglais Speaken by Yes 'n You et ancien chasseur de têtes. À condition bien sûr de ne pas vouloir tuer père et mère pour satisfaire cette ambition.
Défaut n°2 : Je suis timide
En parlant de votre timidité, le recruteur peut comprendre que vous aurez peut-être besoin de plus de temps pour vous livrer. S’il est lui aussi un grand timide, il n’en sera que plus compréhensif. Même pour un job de commercial, ce défaut peut au final s’avérer être un atout. « Un commercial timide aura tendance à davantage mettre en avant les produits et les services à vendre que sa petite personne. Sa réserve incitera le client à mieux exposer ses besoins. L’entreprise a donc tout à y gagner », illustre Olivier Croce.
Lire aussi : 5 qualités qui séduisent les recruteurs
Défaut n°3 : J’ai un fort caractère
En clair, vous ne vous laissez pas démonter facilement. « Cette notion suggère que vous saurez prendre le leadership d’un projet et/ou d’une équipe. Que lors d’une négociation commerciale par exemple, vous vous imposerez et ne lâcherez pas facilement l’affaire », observe Corinne Cabanes, dirigeante du cabinet de recrutement Corinne Cabanes & Associés. En entretien, associez ce défaut à la notion de courage et de prise de risque. Deux vertus très appréciées !
Défaut n°4 : Je suis émotif
Évidemment, pas question de vous mettre à pleurer en prononçant ces mots. « Cela démontre quelque part un candidat qui réagit et qui n’a pas peur de la gestion de ses émotions. Ils sont souvent très créatifs, fourmillent d’idées et peuvent booster un environnement de travail et une équipe », commente le dirigeant de Speaken.
Défaut n°5 : Je suis control freak
En clair, vous aimez tout contrôler. De prime abord, un employeur peut se dire que vous serez incapable de travailler en équipe. Rassurez-le en insistant sur le fait que vous veillez toujours à un travail bien fait, que vous contrôlez vos émotions, et que cela ne vous empêche pas de déléguer. Au contraire.
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Défaut n°6 : Je suis cash
Ou plus élégamment, "je dis toujours ce que je pense". Ce type de défaut allume une alarme dans la tête du recruteur qui va alors chercher à savoir si c’est un défaut rédhibitoire source potentielle de conflit ou, au final, un atout. « Au candidat d’expliquer, qu’en toute franchise, il fixe toujours des cadres clairs et précis qui lui permettent de travailler sans ambiguïté et en toute confiance avec son manager, ses équipes et ses collègues. Et qu’ainsi, il évite les potentiels conflits », argumente Corinne Cabanes. Un bémol toutefois, ce défaut est sans doute mieux reçu par un recruteur de PME que dans un grand groupe, où tout est plus feutré et politique.
Défaut n°7 : Je suis bavard
Sûr que si votre interlocuteur ne l’est pas, choc des cultures il y aura. « En tout état de cause, être bavard démontre une forte sociabilité du candidat et sans doute, une bonne capacité d’intégration. Enclin à solliciter facilement l’avis des autres, il sera capable de trouver des solutions rapides à des problèmes », argumente Olivier Croce. Avant de clore sur ce sujet en entretien, insistez tout de même sur votre bonne capacité d’écoute. Vous parlez certes beaucoup, mais avez aussi l’ouïe fine.
Défaut n°8 : Je suis impatient
« Dommage, les processus d’embauche sont parfois très longs », risque de vous opposer le recruteur. Arguez alors du fait que cette impatience vous pousse à ne pas vivre sur vos acquis et à aller vite. Quitte à vous tromper parfois. « En entreprise, ce qui compte désormais c’est l’exécution d’une tâche plus que l’idée d’exécution. Un candidat qui reconnaît son impatience sera sans doute un collaborateur qui apportera des solutions rapides », plaide Olivier Croce.
Lire aussi : Les défauts qui font fuir les recruteurs
Défaut n°9 : Je suis gourmand
Exprimer ses défauts avec un peu d’humour, en tout cas sur un champ décalé par rapport au monde du recrutement, en l’occurrence la cuisine qui rassemble bon nombre de Français, peut être judicieux. « Évoquer sa gourmandise est un moyen habile de faire part de son appétit pour des projets nouveaux et différents », illustre la dirigeante du cabinet Corinne Cabanes & Associés. Et si le recruteur vous oppose que vous risquez de vous éparpillez, répondez par exemple (en souriant), « je suis gourmand, mais je finis toujours chacun de mes gâteaux ». | |
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